L'échec de la blogoma
La gauche bien pensante marocaine, bien cachée derrière ses pc portables à 15.000 balles, défend un fantasme des droits de l'homme et de liberté d'expression qui finalement n'est que vacuité. La cause même est desservie, le manque d'arguments et la faiblesse de conceptualisation agrémentée d'une immaturité politique totale ont fini de liquider la nouvelle religion du bobo marocain.
Les autorités compétentes avaient prévu la tournure potentielle des évènements (le soutien extrême de la communauté de l'âne), et donc fait le choix de ne pas condamner ce misérable bloggeur à une autre peine que l'hystérie dont ont fait preuve ses semblables pour le défendre. Car suite à 2h de garde à vue, nos amis de l'intérieur avaient déjà atteint leur objectif.
Et plié l'affaire.
L'intérieur doit aujourd'hui se fendre la gueule à la lecture des billets de félicitations que s'adressent les acteurs influents (lol) de la blogoma.
Se réjouir de l'évidence même est une preuve absolue d'échec intellectuel.
Mais la blogoma n'en est pas consciente. Elle continue de cracher son venin. Du néo-fascisme pseudo-révolutionnaire sur fond de racisme idéologique. La vacuité au service de la glande.
Et vice versa.
Dénoncer pour dénoncer.
Car pour eux, il faut imposer coûte que coûte leur nouvelle religion: la liberté d'expression.
La tête dans le guidon, la blogoma n'a vu qu'une tranche du cycle de cette affaire. Plongée dans un engouement sans fin, elle est prise dans une spirale dénonciatrice qui l'a faite prisonnière.
Et de fait, la tourne en ridicule.
En tant que blogger marocain - sans rentrer dans le débat, car cet adjectif ne résume pas mon identité- je ne me suis à aucun moment senti muselé par les autorités de mon pays.
Pourquoi?
Pour n raisons, mais l'essentielle: il y a n choses à contester, tant de choses à dénoncer, alors pourquoi tout stigmatiser sur une seule personne tout le temps?
Alors j'évite ce terrain glissant.
Et alimente mon blog de manière variée et équilibrée.
Je crache dans la soupe et me ressers.
La blogoma m'exaspère.
Où vit-elle?
A Paris?
A Ain Diab?
A Londres?
Suis-je un ultra conservateur?
Peut être...
Les autorités compétentes avaient prévu la tournure potentielle des évènements (le soutien extrême de la communauté de l'âne), et donc fait le choix de ne pas condamner ce misérable bloggeur à une autre peine que l'hystérie dont ont fait preuve ses semblables pour le défendre. Car suite à 2h de garde à vue, nos amis de l'intérieur avaient déjà atteint leur objectif.
Et plié l'affaire.
L'intérieur doit aujourd'hui se fendre la gueule à la lecture des billets de félicitations que s'adressent les acteurs influents (lol) de la blogoma.
Se réjouir de l'évidence même est une preuve absolue d'échec intellectuel.
Mais la blogoma n'en est pas consciente. Elle continue de cracher son venin. Du néo-fascisme pseudo-révolutionnaire sur fond de racisme idéologique. La vacuité au service de la glande.
Et vice versa.
Dénoncer pour dénoncer.
Car pour eux, il faut imposer coûte que coûte leur nouvelle religion: la liberté d'expression.
La tête dans le guidon, la blogoma n'a vu qu'une tranche du cycle de cette affaire. Plongée dans un engouement sans fin, elle est prise dans une spirale dénonciatrice qui l'a faite prisonnière.
Et de fait, la tourne en ridicule.
En tant que blogger marocain - sans rentrer dans le débat, car cet adjectif ne résume pas mon identité- je ne me suis à aucun moment senti muselé par les autorités de mon pays.
Pourquoi?
Pour n raisons, mais l'essentielle: il y a n choses à contester, tant de choses à dénoncer, alors pourquoi tout stigmatiser sur une seule personne tout le temps?
Alors j'évite ce terrain glissant.
Et alimente mon blog de manière variée et équilibrée.
Je crache dans la soupe et me ressers.
La blogoma m'exaspère.
Où vit-elle?
A Paris?
A Ain Diab?
A Londres?
Suis-je un ultra conservateur?
Peut être...
